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  • Avocat conseils, law firm
    Since 1980 in Tunisia

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Notre Equipe

Maître SAMI MAHBOULI
Avocat près la Cour de Cassation

DEA de droit international de l’Université Paris V -Sorbonne. 
Maîtrise en droit des affaires et Maîtrise en sciences économiques de l’Université
Paris I -Sorbonne.
DEA de droit public de l'universite de Tunis.
Editorialiste et Conseiller de la Rédaction de la Revue Réalités

  • Madame SENDA ZAANOUNI
    Juriste d’affaires

    DEA de l’Université de droit et des sciences politiques de Tunis.

  • Mr Samir MZOUGHI
    Juriste d’affaires

    Consultant juridique ancien directeur à l’agence de Promotion de l’industrie et de l’innovation (A.P.I.I).
    Diplômé en sciences économiques de l’Université de Tunis, ancien haut fonctionnaire du ministère de l’économie.

  • Maître SAMI MAHBOULI
    Avocat près la Cour de Cassation

    DEA de droit international de l’Université Paris V -Sorbonne. 
    Maîtrise en droit des affaires et Maîtrise en sciences économiques de l’Université
    Paris I -Sorbonne.
    DEA de droit public de l'universite de Tunis.
    Editorialiste et Conseiller de la Rédaction de la Revue Réalités

  • Maître IMEN GUEBLAOUI
    Avocate

    Avocate
    Mastère en Droit civil de l’Université de Tunis.

  • Maître ISLAM OMRANI
    Avocat à la Cour d’appel

    Avocat à la cour d’appel, enseignant à l’université de droit de Tunis.
    DEA de droit des investissements et des contrats de l’Université de Tunis.
    Facilitateur BRIDGE, organisme dépendant du PNUD en charge des systèmes électoraux.

  • Maître ABDELKRIM MAHBOULI
    Avocat près la Cour de Cassation

    Diplômé de l’Ecole Nationale de la Magistrature  de Bordeaux, ancien magistrat en France, ancien conseiller à la Cour de Cassation Tunisienne, vice Président de L’union Mondiale des Professions Libérales et Président de l’association tunisienne d’arbitrage.

Présentation cabinet Mahbouli

Présentation cabinet Mahbouli

Le CABINET MAHBOULI  est une société d’avocats qui regroupe plusieurs avocats et juristes. Le cabinet est multilingue puisque l’anglais, le français, l’Italien et l’arabe y sont des langues courantes de travail.
 
Ses bureaux sont situés à Tunis dans le quartier de Mutuelleville (le quartier des ambassades). Le cabinet a été créé en 1980 par Maître Abdelkrim MAHBOULI avocat de renommée internationale, ancien conseiller à la Cour de Cassation.
 
Il est actuellement dirigé par son fils Maître Sami MAHBOULI. Titulaire d’un DEA en droit International  et d’une Maîtrise en sciences économiques  de l’Université de Paris–Sorbonne ; Ce dernier  a acquis une réputation confirmée en matière de Droit des Affaires et conseille de grands groupes internationaux tant en Tunisie qu’à l’étranger. Il est l’auteur de nombreux articles dans des revues nationales.
 
Le CABINET MAHBOULI est le conseil juridique de plusieurs ambassades installées en Tunisie et en particulier l’Ambassade d’Italie avec laquelle il collabore depuis plus de 25 ans.
Le CABINET MAHBOULI a acquis une grande réputation en matière d’audit juridique (Legal Due Diligence) dans le cadre d’importantes opérations d’acquisitions telles que MAGASIN GENERAL et d’ENNAKL.   
 
 Le CABINET MAHBOULI a également développé son activité en Libye où il participe au montage d’importants projets d’investissement et conseille des multinationales qui s’y implantent.
Depuis sa création le cabinet MAHBOULI a eu la volonté d’accompagner le développement de ses clients et de s’adapter en permanence à l’évolution des activités économiques :
Cela l’a amené notamment :

  •  à  développer les spécialités pratiquées  en vue d’offrir à ses clients une gamme étendue de compétences tout en conservant une dimension humaine lui permettant de rester proche de sa clientèle,
  •  à s’internationaliser, d’une part, en développant des compétences spécifiques en droit de l’investissement, et, d’autre part, en constituant un réseau de correspondants dans les principaux pays industrialisés.

Secteurs D’activité

Secteurs D’activité

L’activité du CABINET MAHBOULI  est très nettement orientée vers les différentes spécialités de droit des affaires ; l’activité de conseil et d’assistance s’est développée très fortement ces dernières années bien que celle de contentieux continue à occuper une place de choix compte tenu de la réputation du cabinet en la matière et qui en fait un des plus côtés de Tunisie.
Les principaux secteurs dans lesquels le CABINET MAHBOULI  déploie son activité sont les suivants :

DROIT DES AFFAIRES :
-       Legal due diligence
-       Fusions - acquisitions 
-       Droit bancaire, boursier et financier
-       Droit de la faillite
-       Droit fiscal des sociétés
-       Droit des sociétés
CONTENTIEUX & ARBITRAGE:
-       Contentieux commercial et civile.
-       Médiation, conciliation, arbitrage interne et international.
DROIT DE LA PROPRIETE INTELLECTUELLE:
-       Droit des marques de commerce et fabrique.
-       Contentieux pénal et civil en matière de contrefaçon
-       Protection des dessins et modèles et des brevets d’invention.
-       Contrats de licence de marque.
-       Droits d’auteurs.
DROIT DES CONTRATS:
-       Contrats d’affaires.
-       Contrats internationaux.
-       Contrats d’auteur, de production.
-       Contrats électroniques
DROIT DE L’INVESTISSEMENT: 
-       Consultations et études en droit de l’investissement.
-       Constitutions de sociétés off-shore et on-shore.
-       Accompagnement et assistance des investisseurs en Tunisie, Libye et Algérie ainsi que dans les pays du Golfe.
-       Négociation avec les institutions nationales dans le cadre de projets d’investissements.

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Publications

  • TRIBUNE - BLOC-NOTES
    Publié le:
    Vendredi, 26 Septembre, 2014

    Parfois, le hasard fait bien les choses : en dialecte tunisien, le terme « Netan » qui est inclus dans le patronyme de Netanyahu, signifie puant. Au vu de son passé de criminel de guerre patenté et en particulier d’assassin d’enfants palestiniens, le chef du gouvernement israélien mérite, haut la main, cet épithète d’essence olfactive. Comment ne pas puer quand on traîne derrière soi l’odeur de dizaines de charniers ? Comment ne pas exhaler un relent fétide quand, depuis des décennies, on prend un plaisir sadique à plonger ses crocs dans la chair et dans le sang palestiniens? Tant qu’Israël confiera son destin à des souillures du calibre de « Netan yahu », elle ne fera que s’attirer le mépris et la détestation de tous les hommes libres de cette planète. Si la finalité du projet sioniste est de se vautrer dans l’opprobre et le dégoût d’une grande partie de l’humanité, son pari est en passe d’être gagné ; si, de surcroit,  Israël s’imagine qu’elle peut assurer sa sécurité en écrasant sous des bombes femmes et enfants, c’est qu’elle ne connaît rien à l’Histoire. Certes, pour l’heure, cet État-voyou qui se contrefiche de toutes les conventions et résolutions des Nations Unies, peut encore compter sur un dernier carré d’amis toujours prêts à se mobiliser pour couvrir ses crimes et son projet d’extermination du peuple palestinien. Jusqu’il n’y pas si longtemps, la politique française au Proche-Orient, héritière de la tradition gaulliste, se distinguait par un certain équilibre ; Depuis l’avènement de Sarkozy, la balance s’est mise à pencher du côté israélien ; avec l’arrivée au pouvoir d’Hollande, on a basculé dans le soutien béat et inconditionnel. Quand le président Hollande appelle son vieil ami Netanyahu pour l’assurer de l’appui de la France et condamner l’agression de Hamas on se dit que la diplomatie hexagonale a connu des heures plus glorieuses. Il lui aurait suffi de consulter des experts en Droit humanitaire pour savoir qu’une puissance qui assiège, affame et massacre les habitants de Gaza ne mérite pas vraiment qu’on lui exprime la moindre sympathie ou soutien. Quand on se prétend l’héritier de Jaurès et de Blum, on n’apporte pas sa caution morale à un assassin d’enfants comme Netanyahu. Quand on a le privilège de servir la Patrie des Droits de l’Homme, on choisit mieux ses amis et on ne pactise pas avec le premier « Netan » rencontré. Personne ne demande à Hollande de faire sienne les thèses de Garaudy sur Israël mais, à tout le moins, qu’il s’abstienne de soutenir cet État aussi ardemment que le président du CRIF.
    Il n’y a pas foule devant les bureaux d’inscription sur les listes électorales ; à qui la faute ?  Aux Tunisiens qui manquent à leur devoir civique, aux partis politiques rongés par leurs divisions internes, à l’ISIE qui peine à remplir sa mission. Fallait-il offrir à chaque nouvel inscrit un billet pour une tombola dont les prix seraient des tickets pour le concert de Stromae ou des places pour la finale de la Coupe du Monde pour l’inciter à quitter son canapé ? Il est déprimant de constater que plus de trois années d’une transition mouvementée et ruineuse n’aient pas suffi à faire prendre conscience de l’importance des prochains enjeux électoraux. A l’annonce des résultats des élections à venir, gageons que nous aurons droit au même concert de lamentations et de jérémiades que celui qui s’est produit au lendemain du scrutin du 23 Octobre 2011 ; à la différence près, qu’à l’époque, nous n’imaginions pas dans quelle galère allait nous embarquer la Troïka mais que, cette fois-ci, nous n’avons même plus cette excuse… 
     

  • TRIBUNE - BLOC-NOTES
    Publié le:
    Vendredi, 26 Septembre, 2014

    Quand nos soldats tombent par dizaines sous les balles de traîtres et de lâches, les concours d’éloquence ne servent à rien et seuls les actes comptent. En bouclant des mosquées et des médias se livrant à la propagande islamiste et répandant la culture de l’intolérance et de l’arriération, le chef du gouvernement a signifié sa détermination à combattre le terrorisme sous toutes ses formes. Il n’est plus, en effet, à démontrer que l’embrigadement des esprits et la manipulation des sentiments religieux font partie du cursus de base du futur terroriste. Compte tenu de son parti pris idéologique et de sa duplicité naturelle, Ennahdha n’a rien fait  durant ses deux années au pouvoir, pour contrer cette dérive sectaire ; bien au contraire, ce parti a contribué, par une complaisance douteuse, à en élargir le sillon. Dresser l’inventaire des actes ou des discours du parti islamiste tendant à imposer aux Tunisiens un modèle de société rétrograde ne serait pas difficile ; établir sa responsabilité dans le développement de la culture du Takfir non plus. Le rappeler, à l’heure où des scrutins cruciaux sont proches, est un exercice salutaire ne serait-ce que pour éviter de tomber – de nouveau- à pieds joints dans le panneau. Quelle que soit sa longévité, le gouvernement actuel a l’obligation de combattre, autant que faire se peut, le fascisme à connotation religieuse que ses prédécesseurs ont alimenté par l’affaiblissement de l’État et de ses institutions. Lors de sa dernière apparition télévisée, Béji Caïd Essebsi, a insisté à maintes reprises sur l’impérieuse nécessité de restaurer l’autorité de l’État, malmenée par des années d’une transition sans fin ; sans un État fort et respecté, qu’on se le dise, le terrorisme ne sera pas vaincu et nous continuerons, à intervalles réguliers, à prendre le deuil.
     
    Saviez-vous qu’il était plus facile d’organiser une manifestation pro-palestinienne à Tel-Aviv qu’à Paris. On doit ce curieux paradoxe aux socialistes qui gouvernent la France et qui ont décidé de faire de la défense des intérêts d’Israël un sacerdoce. Ce ne sont pas des centaines de corps déchiquetés d’enfants palestiniens qui risquent d’attendrir le pouvoir socialiste et l’amener à tolérer le moindre cortège hostile à l’entité sioniste ; peu importe qu’à Londres, et dans d’autres capitales du monde, l’indignation face aux crimes de guerre d’Israël monte tant qu’à Paris le bâillon et la matraque sont de rigueur. Je sais bien que la boucherie à laquelle se livre les Israéliens à Gaza coïncide avec la commémoration des événements du Vel-d’Hiv, grande messe de la mauvaise conscience française à l’égard de sa communauté juive. Rappelons, qu’en juillet 1942, c’est la police française qui a joué les supplétifs des Nazis en raflant près de 15 000 juifs à Paris dont des milliers d’enfants. Seule une poignée d’entre eux échappèrent à la mort en camps de concentration marquant d’une tâche indélébile l’histoire française. Aujourd’hui, les enfants palestiniens qui meurent sous les bombes à Gaza payent pour les enfants juifs que le gouvernement de Vichy a sacrifiés sur l’autel de la collaboration avec les Nazis. C’est le poids de cette honte qui, depuis plus de 70 ans, pèse  sur la conscience collective française qui empêche toute forme de compassion envers les Palestiniens. Comment s’expliquer le silence des intellectuels français face à une agression aussi barbare si ce n’est par cette dictature du remord qui opprime toute velléité de critique d’Israël. La lutte contre l’antisémitisme n’est pas le monopole de François Hollande et nous sommes nombreux à ne pas rater une occasion pour le pourfendre; ceci ne doit pas devenir un prétexte pour taire les infamies commises par un État qui n’a retenu de la Shoah que les pires méthodes utilisées par l’Allemagne nazie.
    - See more at: http://www.realites.com.tn/editorial/bloc-notes-6/#sthash.zzsAp5cy.dpuf

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  • TRIBUNE - BLOC-NOTES
    Publié le
    Vendredi, 26 Septembre, 2014

    Parfois, le hasard fait bien les choses : en dialecte tunisien, le terme « Netan » qui est inclus dans le patronyme de Netanyahu, signifie puant. Au vu de son passé de criminel de guerre patenté et en particulier d’assassin d’enfants palestiniens, le chef du gouvernement israélien mérite, haut la main, cet épithète d’essence olfactive. Comment ne pas puer quand on traîne derrière soi l’odeur de dizaines de charniers ? Comment ne pas exhaler un relent fétide quand, depuis des décennies, on prend un plaisir sadique à plonger ses crocs dans la chair et dans le sang palestiniens? Tant qu’Israël confiera son destin à des souillures du calibre de « Netan yahu », elle ne fera que s’attirer le mépris et la détestation de tous les hommes libres de cette planète. Si la finalité du projet sioniste est de se vautrer dans l’opprobre et le dégoût d’une grande partie de l’humanité, son pari est en passe d’être gagné ; si, de surcroit,  Israël s’imagine qu’elle peut assurer sa sécurité en écrasant sous des bombes femmes et enfants, c’est qu’elle ne connaît rien à l’Histoire. Certes, pour l’heure, cet État-voyou qui se contrefiche de toutes les conventions et résolutions des Nations Unies, peut encore compter sur un dernier carré d’amis toujours prêts à se mobiliser pour couvrir ses crimes et son projet d’extermination du peuple palestinien. Jusqu’il n’y pas si longtemps, la politique française au Proche-Orient, héritière de la tradition gaulliste, se distinguait par un certain équilibre ; Depuis l’avènement de Sarkozy, la balance s’est mise à pencher du côté israélien ; avec l’arrivée au pouvoir d’Hollande, on a basculé dans le soutien béat et inconditionnel. Quand le président Hollande appelle son vieil ami Netanyahu pour l’assurer de l’appui de la France et condamner l’agression de Hamas on se dit que la diplomatie hexagonale a connu des heures plus glorieuses. Il lui aurait suffi de consulter des experts en Droit humanitaire pour savoir qu’une puissance qui assiège, affame et massacre les habitants de Gaza ne mérite pas vraiment qu’on lui exprime la moindre sympathie ou soutien. Quand on se prétend l’héritier de Jaurès et de Blum, on n’apporte pas sa caution morale à un assassin d’enfants comme Netanyahu. Quand on a le privilège de servir la Patrie des Droits de l’Homme, on choisit mieux ses amis et on ne pactise pas avec le premier « Netan » rencontré. Personne ne demande à Hollande de faire sienne les thèses de Garaudy sur Israël mais, à tout le moins, qu’il s’abstienne de soutenir cet État aussi ardemment que le président du CRIF.
    Il n’y a pas foule devant les bureaux d’inscription sur les listes électorales ; à qui la faute ?  Aux Tunisiens qui manquent à leur devoir civique, aux partis politiques rongés par leurs divisions internes, à l’ISIE qui peine à remplir sa mission. Fallait-il offrir à chaque nouvel inscrit un billet pour une tombola dont les prix seraient des tickets pour le concert de Stromae ou des places pour la finale de la Coupe du Monde pour l’inciter à quitter son canapé ? Il est déprimant de constater que plus de trois années d’une transition mouvementée et ruineuse n’aient pas suffi à faire prendre conscience de l’importance des prochains enjeux électoraux. A l’annonce des résultats des élections à venir, gageons que nous aurons droit au même concert de lamentations et de jérémiades que celui qui s’est produit au lendemain du scrutin du 23 Octobre 2011 ; à la différence près, qu’à l’époque, nous n’imaginions pas dans quelle galère allait nous embarquer la Troïka mais que, cette fois-ci, nous n’avons même plus cette excuse… 
     

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    Publié le
    Vendredi, 26 Septembre, 2014

    Quand nos soldats tombent par dizaines sous les balles de traîtres et de lâches, les concours d’éloquence ne servent à rien et seuls les actes comptent. En bouclant des mosquées et des médias se livrant à la propagande islamiste et répandant la culture de l’intolérance et de l’arriération, le chef du gouvernement a signifié sa détermination à combattre le terrorisme sous toutes ses formes. Il n’est plus, en effet, à démontrer que l’embrigadement des esprits et la manipulation des sentiments religieux font partie du cursus de base du futur terroriste. Compte tenu de son parti pris idéologique et de sa duplicité naturelle, Ennahdha n’a rien fait  durant ses deux années au pouvoir, pour contrer cette dérive sectaire ; bien au contraire, ce parti a contribué, par une complaisance douteuse, à en élargir le sillon. Dresser l’inventaire des actes ou des discours du parti islamiste tendant à imposer aux Tunisiens un modèle de société rétrograde ne serait pas difficile ; établir sa responsabilité dans le développement de la culture du Takfir non plus. Le rappeler, à l’heure où des scrutins cruciaux sont proches, est un exercice salutaire ne serait-ce que pour éviter de tomber – de nouveau- à pieds joints dans le panneau. Quelle que soit sa longévité, le gouvernement actuel a l’obligation de combattre, autant que faire se peut, le fascisme à connotation religieuse que ses prédécesseurs ont alimenté par l’affaiblissement de l’État et de ses institutions. Lors de sa dernière apparition télévisée, Béji Caïd Essebsi, a insisté à maintes reprises sur l’impérieuse nécessité de restaurer l’autorité de l’État, malmenée par des années d’une transition sans fin ; sans un État fort et respecté, qu’on se le dise, le terrorisme ne sera pas vaincu et nous continuerons, à intervalles réguliers, à prendre le deuil.
     
    Saviez-vous qu’il était plus facile d’organiser une manifestation pro-palestinienne à Tel-Aviv qu’à Paris. On doit ce curieux paradoxe aux socialistes qui gouvernent la France et qui ont décidé de faire de la défense des intérêts d’Israël un sacerdoce. Ce ne sont pas des centaines de corps déchiquetés d’enfants palestiniens qui risquent d’attendrir le pouvoir socialiste et l’amener à tolérer le moindre cortège hostile à l’entité sioniste ; peu importe qu’à Londres, et dans d’autres capitales du monde, l’indignation face aux crimes de guerre d’Israël monte tant qu’à Paris le bâillon et la matraque sont de rigueur. Je sais bien que la boucherie à laquelle se livre les Israéliens à Gaza coïncide avec la commémoration des événements du Vel-d’Hiv, grande messe de la mauvaise conscience française à l’égard de sa communauté juive. Rappelons, qu’en juillet 1942, c’est la police française qui a joué les supplétifs des Nazis en raflant près de 15 000 juifs à Paris dont des milliers d’enfants. Seule une poignée d’entre eux échappèrent à la mort en camps de concentration marquant d’une tâche indélébile l’histoire française. Aujourd’hui, les enfants palestiniens qui meurent sous les bombes à Gaza payent pour les enfants juifs que le gouvernement de Vichy a sacrifiés sur l’autel de la collaboration avec les Nazis. C’est le poids de cette honte qui, depuis plus de 70 ans, pèse  sur la conscience collective française qui empêche toute forme de compassion envers les Palestiniens. Comment s’expliquer le silence des intellectuels français face à une agression aussi barbare si ce n’est par cette dictature du remord qui opprime toute velléité de critique d’Israël. La lutte contre l’antisémitisme n’est pas le monopole de François Hollande et nous sommes nombreux à ne pas rater une occasion pour le pourfendre; ceci ne doit pas devenir un prétexte pour taire les infamies commises par un État qui n’a retenu de la Shoah que les pires méthodes utilisées par l’Allemagne nazie.
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  • TRIBUNE - BLOC-NOTES
    Publié le
    Vendredi, 26 Septembre, 2014

    Paul Touvier, ancien membre de la Milice, organisation pronazie durant l’occupation, a été condamné par la justice française, 50 ans après les faits qui lui sont imputés, pour crime contre l’humanité. Son crime est d’avoir été responsable de l’exécution de 7  juifs à Rillieux-la-Pape. Si l’on utilise le même critère, les 1800 Palestiniens que le gouvernement israélien a froidement massacrés à Gaza implique –ipso facto- que celui-ci est composé d’une belle brochette de criminels contre l’humanité. Ce qui est vrai en théorie l’est moins lorsqu’on passe aux travaux pratiques : pour le président Hollande, tuer des dizaines d’enfants palestiniens dans des écoles des Nations-Unies est juste « inadmissible ». Il aura fallu que des sommets dans la barbarie sioniste soient atteints pour qu’enfin le président français parle de massacres et hausse le ton. Trop peu et surtout un peu tard quand il s’agit – selon les propres critères hexagonaux- de véritables crimes contre l’humanité. Il faut se faire une raison : la jurisprudence Touvier ne s’applique pas à Israël et ne concerne pas les Palestiniens. La politique des « deux poids, deux mesures » désormais si coutumière en Droit international a déteint également sur l’émotion et à l’indignation que peuvent susciter les crimes d’un État. Je pensais naïvement qu’après le génocide rwandais, les officiels français seraient plus prompts à réagir face à des massacres de masse. On ne va tout de même pas attendre - chaque fois - que des milliers de Palestiniens soient massacrés pour que la France prenne une position ferme et courageuse. La passivité de cette dernière dans le drame rwandais a été perçue comme une forme de complicité, ce qui est, pour le moins, gênant quand il s’agit de crimes contre l’Humanité. Ce n’est pas en prenant d’infinies précautions oratoires à l’égard du gouvernement israélien et en minimisant ses crimes que la France fera oublier ses casseroles passées de Madagascar à Sétif en passant par Kigali.
    Le silence officiel n’est rien comparé à celui de l’intelligentsia française ; où sont les paladins des grandes causes, les humanistes du dimanche tels qu’Elie Wiesel ou Bernard-Henry Lévy ; chaque fois que la passion assassine d’Israël se déchaîne, ils sont portés disparus. Certes, il y a des exceptions notables et notamment Jean Daniel qui a eu le courage d’écrire il y a quelques jours qu’ « Israël n’est plus protégé par la mémoire de la Shoah ».  Oser balancer une telle sentence à la figure des rentiers de l’Holocauste n’est pas à la portée du premier venu ; Il prouve, ainsi, qu’on peut être Juif et regarder Israël dans les yeux pour lui dire ses quatre vérités. Dommage que la communauté juive française, dans un réflexe pavlovien, soit plus sensible aux appels du CRIF qu’à celui d’un de ses sages. Soutenir Israël quand il se vautre dans l’abjection ne contribuera pas à le protéger de la montée inquiétante de l’antisémitisme en France ; je crains même que cet élan de solidarité malsain l’isole davantage au sein de la nation. Par leur allégeance inconditionnelle à Israël, les millions de Juifs qui peuplent l’hémisphère ne font qu’accroître l’aveuglement criminel des gouvernements israéliens successifs. C’est dans ces moments que l’absence d’un humaniste tel que Stéphane Hessel se ressent cruellement. Ce rescapé de Buchenwald, qui mieux que quiconque a connu l’horreur nazie, n’a pas hésité, depuis 2006, à parler de crimes contre l’humanité commis par Israël à Gaza ; en dépit de la censure et du déchaînement des lobbys pro-israéliens, sa capacité à s’indigner n’a jamais défailli. Plus que les roquettes du Hamas, le dégoût planétaire envers la politique israélienne finira  par en infléchir le cours mortifère.   
     

  • TRIBUNE - BLOC-NOTES
    Publié le
    Vendredi, 26 Septembre, 2014

    Saïd Mestiri n’est plus mais il a tant été : chirurgien, enseignant, historien, humaniste. Il faut avoir eu la chance d’approcher cet homme discret et courtois pour comprendre que tous les hommages qui lui sont rendus depuis qu’il nous a quittés sont en deça de ceux qu’il mérite. Bien qu’ayant eu l’avantage de le rencontrer à quelques trop rares occasions, je l’ai surtout côtoyé à travers ses livres qui, à chaque parution, sont venus combler un vide voire réparer une injustice. En effet, durant plus de 20 ans, le Professeur Saïd Mestiri s’est dévoué à tirer de l’oubli ou du moins à dépoussiérer la mémoire de trois immenses personnalités : M’hamed Chenik, Moncef Bey, et Moncef Mestiri. Le premier fut, à deux reprises, Premier ministre sous le protectorat mais témoigna tout au long de sa vie d’un sens patriotique et d’un courage remarquable. Saïd Mestiri,  son gendre et son meilleur biographe, a su nous restituer le parcours de cet homme trop méconnu en dépit de ses immenses mérites. M’hamed Chenik fut, notamment, le Premier ministre de Moncef Bey auquel le regretté Saïd Mestiri vouait une admiration sans bornes. De cet amour est né un ouvrage, plusieurs fois augmenté et réédité, incontournable pour celui qui s’intéresse à ce monarque attachant et patriote. La dernière grande œuvre du professeur Saïd Mestiri est celle qu’il a consacré à son oncle, le grand militant et journaliste Moncef Mestiri ; ce dernier victime d’un travail d’occultation sous Bourguiba en raison de son appartenance au Vieux Destour et de son franc parler a trouvé sous la plume élégante et savante du regretté Saïd Mestiri le biographe qu’il méritait depuis si longtemps. Sans cet acte de justice commis par le grand disparu, la mémoire d’un homme aussi singulier et estimable que Moncef Mestiri aurait succombé aux ravages de l’oubli et de l’ignorance. Avant de se lancer, à un âge relativement avancé, dans la recherche historique, le Professeur Mestiri dédia plus de 60 ans de son existence à soigner et à transmettre le savoir médical à des générations de médecins. Il peut maintenant reposer en paix après avoir tant donné à la nation. Il restera, pour toujours, un modèle de supériorité intellectuelle et morale dans une Tunisie qui en a cruellement besoin.     
    Quittons la planète des géants pour faire une brève excursion dans celle des nains. Pour attirer sur sa petite personne un peu de lumière, l’ancien « ministricule » des affaires foncières sous la calamiteuse Troïka, Slim Ben Hmidène,  a tenté de profaner la statue du commandeur. Dans un effort de réflexion surhumain, l’ancien ministre par accident, s’interroge sur l’héritage bourguibien au moyen d’une phrase dont on appréciera la luminosité et le bon goût : « S’agissant de Bourguiba, sommes-nous devant un géant réformateur ou un assassin odieux ?». Il faut avoir du toupet et une sacrée dose d’impudence pour s’en prendre avec autant de bassesse à celui à qui on doit ses deux doigts de culture et le peu d’éducation acquise. Ce ne sont pas les interrogations filandreuses d’un responsable météorite dans un gouvernement d’incapables qui vont porter ombrage à la mémoire d’un « géant réformateur » comme le dit si bien ex-maître Ben Hmidène. Quant aux assassins, si ma mémoire est bonne, c’est bien lorsqu’il était au pouvoir qu’ils sévissaient et qu’ils continuent à le faire. Je ne m’étendrais pas sur les responsabilités morales et politiques du gouvernement auquel il avait l’honneur d’appartenir, persuadé que je suis qu’un jour viendra où toute la lumière sera faite. Je ne peux cacher, rétrospectivement,  ma satisfaction de savoir que le Conseil de l’ordre des avocats a invalidé l’inscription au Barreau de ce triste Sire pour défaut des critères légaux. Je préfère, de loin, savoir que je suis le confrère du fameux Maître Habib Bourguiba que celui d’un petit taggeur de stèles.
     

  • TRIBUNE - BLOC-NOTES
    Publié le
    Vendredi, 26 Septembre, 2014

    Il y a du changement dans l’air : au lendemain du 14 janvier, les hommes d’affaires étaient tantôt vilipendés, tantôt suspectés pour leurs accointances avec l’ancien régime. Certains furent rackettés et plusieurs centaines d’entre eux privés de voyage. Désormais, Ils sont courtisés et les partis, mis à part évidemment les plus à gauche, leur offrent les meilleures places sur leurs listes pour les législatives. Ce retour en grâce n’a rien de scandaleux et renforce ma conviction que la vague démago-populiste qui a déferlé sur le pays est derrière nous. Bien entendu, inutile de chercher l’amour dans cette union qui n’est qu’une affaire de gros sous et d’intérêts. N’allez pas me dire, par exemple, que les hommes d’affaires qui se portent candidats sur les listes d’Ennahdha sont des adeptes de la théocratie ou de la finance islamique ; ils pensent, prosaïquement, qu’un tel investissement peut s’avérer rentable surtout si les sondages disent vrai sur les chances des islamistes aux prochaines élections. On ne va tout de même pas reprocher à Ennahdha de savoir tirer parti de la faiblesse de la nature humaine en attirant sur ses listes des hommes pour qui l’argent n’a pas d’odeur et qui comme le Faust de Goethe sont prêts à pactiser avec Mephisto.
    En examinant les têtes de listes des différents partis, on n’est pas à une surprise près. La présence de Nadhir Ben Ammou sur une liste d’Ennahdha alors qu’on nous l’avait vendu, sous le gouvernement Laarayedh, comme une compétence indépendante, un pur produit de l’université tunisienne, a fait sensation. A-t-il découvert, au contact des islamistes, les bienfaits du dogmatisme religieux et du droit musulman ? Ses nombreux étudiants à la faculté de droit apprécieront, sans doute, la fermeté de ses convictions et la linéarité de sa trajectoire et ne manqueront pas de lui réserver à la prochaine rentrée universitaire l’accueil qu’il mérite. Non moins surprenante, la présence de Ezzedine Bach Chaouch sur une liste du CPR. Cet amateur de vestiges a dû être séduit par les aspects archéologiques voire antédiluviens du programme de ce parti. Quand on a eu, comme lui, l’honneur de figurer dans le gouvernement Caïed Essebsi, on est censé ne pas répondre aux sirènes d’un parti démagogique et sectaire. En effet, le CPR ou ce qu’il en reste n’a jamais cessé de souffler sur les braises de la division et ne jure que par la reddition des comptes. Il faudra certainement plus qu’un joli nœud papillon et un costume bien taillé pour que Bach Chaouch parvienne à faire avaler l’inélégance de son ralliement pour ne pas dire de son reniement.
    « Daech » serait à nos portes et « l’État islamique » en embuscade. Pour l’instant, je vois surtout « Naess » dans nos murs et « L’État soporifique » qui triomphe. Quand on voit le niveau de notre productivité et l’insalubrité de nos villes, on se dit que l’idéologie de « Naess » fondée sur la paresse, le laxisme et la gabegie généralisée sera difficile à vaincre ; en effet, les gilets pare-balles et les hélicoptères de combat seront d’une efficacité réduite contre cette forme nouvelle de terrorisme qui annihile tout sens de l’effort et vous rapproche du stade végétatif. Les terroristes sont, certes, à craindre ; les fumistes qui prolifèrent à tout bout de champ ne sont pas moins redoutables pour l’avenir de ce pays.
     

  • TRIBUNE - BLOC-NOTES
    Publié le
    Vendredi, 26 Septembre, 2014

    Dans le jargon militaire, le « tir ami » désigne les balles qui proviennent  de votre propre camp et qui visent, de préférence, le dos ; à l’évidence, la lettre ouverte adressée par Omar Shabou à Béji Caïd Essebsi relève de cette catégorie. En parcourant ce joyau de la littérature contemporaine, on découvre que son auteur, outre ses talents journalistiques universellement reconnus, possède de vastes connaissances en matière de gérontologie ; il est, en effet capable, sans hésiter, de fixer l’âge auquel un homme politique doit s’abstenir de postuler à la moindre responsabilité.
    Ainsi, pour Caïd Essebsi, après un minutieux examen clinique, le diagnostic de Dr.Shabou tombe comme un couperet : la présidentielle n’est pas faite pour lui en raison de son âge et de son état de santé. Inutile de chercher une base scientifique à cet avis péremptoire puisque notre Diafoirus* local s’en tient juste à une évocation de la fin de règne de Bourguiba et à quelques comparaisons fumeuses. On serait tenté de rappeler à ce médecin improvisé que celui qui a pu tirer le pays de l’ornière en 2011 et réussir les premières élections libres de son histoire est tout à fait capable d’assumer les charges de la magistrature suprême suivant la règle bien connue de « celui qui peut le plus peut le moins ».
    Quant aux allégations gratuites aux termes desquelles Caïd Essebsi serait le jouet d’ambitions familiales et le prisonnier d’une cour d’intrigants, elles me paraissent être le fruit d’une imagination délirante doublée d’une ignorance complète du caractère de cette personnalité : ceux qui connaissent Caïd Essebsi savent qu’il est insensible à la flatterie et non manipulable.
    Affirmer, au surplus, que l’ambition présidentielle de Caïd Essebsi tient à une farouche volonté de mimer Bourguiba, dénote d’une vision simpliste voire puérile du parcours d’un homme politique de premier plan. Je suis persuadé que si, un matin de septembre, Caïd Essebsi, se levait et annonçait qu’il se désistait au profit de Omar Shabou, ce dernier crierait au génie politique, à la grandeur incarnée et à la sagesse faite homme. Comme ce jour n’est pas prêt de se lever, il faudra que Shabou se contente de se rendre aux urnes fin novembre pour choisir en son âme et conscience, parmi les dizaines de rigolos qui se présentent, le « jeunot » qui à ses yeux incarne le mieux l’avenir de cette si vieille nation.
    Qui a dit que les grandes messes ne servaient à rien : l’imposante conférence destinée à relancer l’investissement en Tunisie participe de cet effort d’exorcisation de trois années noires pour l’économie tunisienne. Après des mois de pagaille généralisée consécutive à une prétendue Révolution, on a eu droit au déferlement de l’extrémisme religieux conjugué à l’aveuglement syndical le plus total. Résultat : des investisseurs qui décampent et un risque  pays qui bat tous les records.
    Malgré toute l’ardeur sincère du gouvernement actuel, il faudra bien plus qu’une conférence pour redorer le blason de notre pays  et tout d’abord que les Tunisiens retrouvent le goût du travail, ensuite que la loi soit appliquée dans toute sa rigueur, enfin que les syndicats renoncent à une démagogie ruineuse. Cela paraît simple et pourtant toute la difficulté réside dans cette équation qu’aucun gouvernement ne parvient pour l’instant à résoudre.
    De la belle ouvrage ; le dernier livre d’Aïcha Ibrahim, « Les Morisques et le pont des civilisations » (MC Editions, 2014), est un travail qui force l’admiration tant par sa grande qualité littéraire que par la  densité de son contenu. Hispanisante, à la fois historienne et enseignante en littérature française, Aïcha Ibrahim nous offre bien plus qu’un livre d’histoire sur les Morisques ; en effet, à travers la littérature, la poésie et l’art de vivre andalous, elle appréhende de manière originale l’apport civilisationnelle des Morisques.  Sur l’implantation de ses derniers en terre tunisienne,  après leur expulsion d’Espagne en 1609, l’auteur nous restitue avec force détails la révolution industrielle et agricole qui en a résulté. C’est toujours un bonheur de vérifier que l’Université tunisienne regorge d’excellents défricheurs de notre histoire et de la diversité de ses héritages ethniques et culturels. Face à la tentation du repli identitaire et religieux, ce n’est jamais inutile.
    *Personnage du médecin dans le « Malade imaginaire » de Molière
     

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